Chercheurs, responsables publics et représentants de grandes métropoles, de Séoul à Dubrovnik en passant par Sendai, y ont échangé sur un constat partagé : la technologie ne suffit pas à rendre une ville intelligente.
Parmi les participants, Chochoy Conseil et Smart City Galaxy, ont apporté leur regard sur cette transformation silencieuse : celui d’experts qui œuvrent à traduire le langage technologique en langage compréhensible et actionnable, condition indispensable pour faire de la Smart City un projet collectif plutôt qu’un assemblage de gadgets.
Leur analyse, forgée à la croisée de la stratégie publique, de la prospective technologique et de l’ingénierie commerciale, converge avec une idée désormais centrale : une Smart City n’a de sens que si elle s’inscrit dans un projet d’intelligence collective.
Parmi les participants, Chochoy Conseil et Smart City Galaxy, ont apporté leur regard sur cette transformation silencieuse : celui d’experts qui œuvrent à traduire le langage technologique en langage compréhensible et actionnable, condition indispensable pour faire de la Smart City un projet collectif plutôt qu’un assemblage de gadgets.
Leur analyse, forgée à la croisée de la stratégie publique, de la prospective technologique et de l’ingénierie commerciale, converge avec une idée désormais centrale : une Smart City n’a de sens que si elle s’inscrit dans un projet d’intelligence collective.
L’IA, nouveau moteur des politiques urbaines
Selon l’OCDE, plus de 30 % des applications de smart city seront alimentées par des systèmes d’IA d’ici fin 2025. De la gestion énergétique à la mobilité prédictive, en passant par la planification urbaine et la prévention climatique, l’IA promet d’optimiser la décision publique en temps réel.
Mais ces promesses s’accompagnent d’un cortège de défis : gouvernance éthique, protection des données, biais algorithmiques, dépendance technologique et fracture numérique.
Les débats ont souligné que les villes ne partent pas du même point.
Les grandes métropoles mondiales comme Séoul, Amsterdam ou Tokyo disposent d’écosystèmes technologiques robustes, d’équipes dédiées à la donnée et de stratégies coordonnées à l’échelle régionale. Elles peuvent expérimenter des systèmes prédictifs complexes et investir dans des infrastructures numériques à long terme.
À l’inverse, de nombreuses villes moyennes et petites collectivités avancent avec des ressources humaines et financières limitées. Leur rapport à la Smart City est souvent plus pragmatique et plus humain, centré sur la qualité de vie du citadin plutôt que sur la performance de la ville.
Cette différence de trajectoire révèle un paradoxe central : plus la ville est « intelligente » techniquement, plus elle risque de s’éloigner du vécu citadin.
C’est précisément là que se situe l’un des grands enjeux soulevés à l’OCDE et au cœur du travail de Chochoy Conseil : réconcilier la vision urbaine et la réalité citadine, pour que la Smart City reste un projet de société avant d’être un projet de data.
Chochoy Conseil : remettre le sens au cœur de la Smart City
Spécialisé dans la construction de politiques publiques intelligentes, Chochoy Conseil accompagne depuis plusieurs années des collectivités et opérateurs publics dans la transformation de leurs offres de services.
L’entreprise défend une conviction simple mais structurante : on ne crée pas une ville intelligente en additionnant des produits et des services numériques, mais en les intégrant dans une vision politique, lisible et partagée.
« Un projet de Smart City ne se limite pas à un assemblage de technologies. Il suppose une compréhension profonde des usages, des interdépendances et des finalités publiques. C’est à cette condition qu’il devient un projet d’intelligence collective », souligne Emmanuel CHOCHOY, gérant de Chochoy Conseil.
Cette approche s’appuie sur la méthodologie MSMKC, développée par Emmanuel CHOCHOY, qui vise à traduire les innovations techniques en cas d’usage concrets et compréhensibles pour les décideurs, les citoyens et les opérateurs économiques. Ainsi, cette méthode permet de donner du sens à la complexité et de transformer les innovations techniques en véritables outils de décision et de gouvernance.
Selon l’OCDE, plus de 30 % des applications de smart city seront alimentées par des systèmes d’IA d’ici fin 2025. De la gestion énergétique à la mobilité prédictive, en passant par la planification urbaine et la prévention climatique, l’IA promet d’optimiser la décision publique en temps réel.
Mais ces promesses s’accompagnent d’un cortège de défis : gouvernance éthique, protection des données, biais algorithmiques, dépendance technologique et fracture numérique.
Les débats ont souligné que les villes ne partent pas du même point.
Les grandes métropoles mondiales comme Séoul, Amsterdam ou Tokyo disposent d’écosystèmes technologiques robustes, d’équipes dédiées à la donnée et de stratégies coordonnées à l’échelle régionale. Elles peuvent expérimenter des systèmes prédictifs complexes et investir dans des infrastructures numériques à long terme.
À l’inverse, de nombreuses villes moyennes et petites collectivités avancent avec des ressources humaines et financières limitées. Leur rapport à la Smart City est souvent plus pragmatique et plus humain, centré sur la qualité de vie du citadin plutôt que sur la performance de la ville.
Cette différence de trajectoire révèle un paradoxe central : plus la ville est « intelligente » techniquement, plus elle risque de s’éloigner du vécu citadin.
C’est précisément là que se situe l’un des grands enjeux soulevés à l’OCDE et au cœur du travail de Chochoy Conseil : réconcilier la vision urbaine et la réalité citadine, pour que la Smart City reste un projet de société avant d’être un projet de data.
Chochoy Conseil : remettre le sens au cœur de la Smart City
Spécialisé dans la construction de politiques publiques intelligentes, Chochoy Conseil accompagne depuis plusieurs années des collectivités et opérateurs publics dans la transformation de leurs offres de services.
L’entreprise défend une conviction simple mais structurante : on ne crée pas une ville intelligente en additionnant des produits et des services numériques, mais en les intégrant dans une vision politique, lisible et partagée.
« Un projet de Smart City ne se limite pas à un assemblage de technologies. Il suppose une compréhension profonde des usages, des interdépendances et des finalités publiques. C’est à cette condition qu’il devient un projet d’intelligence collective », souligne Emmanuel CHOCHOY, gérant de Chochoy Conseil.
Cette approche s’appuie sur la méthodologie MSMKC, développée par Emmanuel CHOCHOY, qui vise à traduire les innovations techniques en cas d’usage concrets et compréhensibles pour les décideurs, les citoyens et les opérateurs économiques. Ainsi, cette méthode permet de donner du sens à la complexité et de transformer les innovations techniques en véritables outils de décision et de gouvernance.
Un tournant vers la gouvernance des usages
À l’OCDE, les échanges ont mis en lumière un basculement : l’avenir des villes intelligentes ne se joue plus sur la sophistication technologique, mais sur la gouvernance de la donnée et des usages.
Plusieurs intervenants ont insisté sur la nécessité de préserver la place de l’humain dans la décision urbaine. L’IA, si elle automatise certains processus, doit rester un outil au service de la décision publique, non un substitut.
Cette vision rejoint celle défendue par Chochoy Conseil : la véritable intelligence d’une ville réside dans sa capacité à articuler technologie, politique publique et participation citoyenne.
L’IA, levier ou miroir des fragilités urbaines ?
Au-delà de l’efficacité, l’IA interroge la nature même du contrat urbain. Les algorithmes peuvent anticiper les besoins, modéliser les flux, améliorer la résilience climatique mais aussi reproduire des inégalités ou des biais systémiques s’ils sont mal conçus.
Pour Chochoy Conseil, la maîtrise de ces technologies suppose une montée en compétence collective, où élus, techniciens, citoyens et entreprises coconstruisent la ville numérique de demain.
Vers une ville vraiment « intelligente »
La participation de Chochoy Conseil et de Smart City Galaxy à la table ronde de l’OCDE témoigne d’une dynamique française de plus en plus visible dans la réflexion internationale sur la gouvernance urbaine et l’intelligence artificielle.
Leur posture, à la fois critique et pragmatique, rappelle que la Smart City n’est pas un marché, mais un projet politique de société : celui d’une ville capable de comprendre, d’apprendre et de décider collectivement.
À l’OCDE, les échanges ont mis en lumière un basculement : l’avenir des villes intelligentes ne se joue plus sur la sophistication technologique, mais sur la gouvernance de la donnée et des usages.
Plusieurs intervenants ont insisté sur la nécessité de préserver la place de l’humain dans la décision urbaine. L’IA, si elle automatise certains processus, doit rester un outil au service de la décision publique, non un substitut.
Cette vision rejoint celle défendue par Chochoy Conseil : la véritable intelligence d’une ville réside dans sa capacité à articuler technologie, politique publique et participation citoyenne.
L’IA, levier ou miroir des fragilités urbaines ?
Au-delà de l’efficacité, l’IA interroge la nature même du contrat urbain. Les algorithmes peuvent anticiper les besoins, modéliser les flux, améliorer la résilience climatique mais aussi reproduire des inégalités ou des biais systémiques s’ils sont mal conçus.
Pour Chochoy Conseil, la maîtrise de ces technologies suppose une montée en compétence collective, où élus, techniciens, citoyens et entreprises coconstruisent la ville numérique de demain.
Vers une ville vraiment « intelligente »
La participation de Chochoy Conseil et de Smart City Galaxy à la table ronde de l’OCDE témoigne d’une dynamique française de plus en plus visible dans la réflexion internationale sur la gouvernance urbaine et l’intelligence artificielle.
Leur posture, à la fois critique et pragmatique, rappelle que la Smart City n’est pas un marché, mais un projet politique de société : celui d’une ville capable de comprendre, d’apprendre et de décider collectivement.