La ville de Narbonne propose sa place de marché communale où les habitants peuvent retrouver leurs commerces habituels et commander, même en dehors des heures légales de sortie. (Photo Adobe Stock et Ville de Narbonne)
Être présent sur internet et pouvoir vendre ses produits en ligne, comme les ténors de la grande distribution, beaucoup de commerçants y pensent, mais peu sont passés à l’acte. La crise économique, consécutive à la crise sanitaire que traverse notre pays, pourrait déclencher cette envie de se lancer dans le e-Commerce. Mais tout cela un coût difficile à ajouter aux pertes d’exploitation que rencontrent ces petits commerçants, aidés certes, mais pas suffisamment. Depuis mars dernier, bon nombre ont déjà jeté l’éponge et d’autres ne s’en remettront pas si la crise dure encore une année.
Constat : seulement 30% des petits commerces sont digitalisés en France, contre 70% en Allemagne. Alors, le ministre de l’économie, des finances et de la relance, Bruno Lemaire, insiste depuis novembre dernier, auprès des collectivités territoriales, pour qu’elles participent à l’élévation de ce chiffre à hauteur de 50 % en sortie de crise.
Mais le numérique peut-il sauver les commerces de proximité ? Christophe Bouillon, le président de l’Association des petites et moyennes communes de France, estime, dans la Gazette des Communes que « la digitalisation ne remplacera pas l’utilité sociale des commerces de centre-ville, mais cela peut permettre de les moderniser, en leur offrant une visibilité sur l’agora d’internet, aujourd’hui devenue incontournable ».
Dans la pratique ce n’est pas aussi simple. En effet, malgré la crise et les confinements, de nombreux commerces de proximité ne sont pas prêts à modifier leurs systèmes de vente pour continuer à travailler. Les solutions existantes leur apparaissent trop chères ou trop complexes pour leurs petites structures. Quant aux municipalités, elles ne sont pas forcément capables de les aider, le plus souvent faute de moyens et de compétences internes.
C'est pour les aider à relever le challenge de la digitalisation que Loic Viandier, le fondateur de l’agence Tramontana Web à Narbonne ( Occitanie ), lance « J'aime ma Zone », une solution efficace, rapide et simple qui permet aux communes françaises de venir en aide à leurs commerces de proximité, en leur proposant de numériser la prise de commande et la visibilité en ligne. En quelques clics, tous les commerçants et artisans de la commune peuvent commencer à proposer de la vente en ligne de leurs produits sur une véritable place de marché communale.
« C’est une solution 100% fonctionnelle, sans prise de tête pour digitaliser vite et bien toutes les villes, bourgs, et villages de France et les redynamiser », affirme Loic Viandier, le fondateur. « Nous voulons prouver qu'il est possible d'apporter une réponse efficace aux restrictions liées au Covid 19 afin que les petits commerces puissent recommencer à travailler sereinement ».
L’objectif de cette solution est d’aider les commerces des villes moyennes et villages à se développer et à prendre le virage du numérique afin de palier la crise économique et sanitaire.
Alors comment ça marche ? J'aime ma Zone est, selon son concepteur, un outil « tout-en-un », très complet qui offre aux communes, une plateforme centrale customisée à l'image de la ville, permettant aux habitants, touristes, personnes de passage, d’y retrouver tous les commerces alimentaires ou non, de s’informer et passer commande sans se déplacer.
Chaque commerce de la ville bénéficie de sa propre boutique en ligne avec nom de domaine dédié, personnalisation intégrale, administration et mise à jour accessible. De plus, la plateforme est optimisée pour le « click & collect » ou la livraison à domicile à destination de chacun de leur commerce.
« Nous avons créé le système le plus adapté et le plus abouti pour les communes d'aujourd'hui, puisqu'il est à mi-chemin entre la place de marché et le site e-commerce. Il est opérationnel en 72 h », précise Loic Viandier, lequel n’en est pas à sa première expérience dans le domaine, puisque l’équipe qu’il dirige a déjà lancé deux autres plateformes de digitalisation pour les commerces de proximité : Restaurantdrive.fr et petitdrive.fr
Et comme un exemple vaut plus qu’un long discours, le concepteur vous invite à visiter le site des commerces de la ville de Narbonne : https://jaimemazone.wpmudev.host/
Constat : seulement 30% des petits commerces sont digitalisés en France, contre 70% en Allemagne. Alors, le ministre de l’économie, des finances et de la relance, Bruno Lemaire, insiste depuis novembre dernier, auprès des collectivités territoriales, pour qu’elles participent à l’élévation de ce chiffre à hauteur de 50 % en sortie de crise.
Mais le numérique peut-il sauver les commerces de proximité ? Christophe Bouillon, le président de l’Association des petites et moyennes communes de France, estime, dans la Gazette des Communes que « la digitalisation ne remplacera pas l’utilité sociale des commerces de centre-ville, mais cela peut permettre de les moderniser, en leur offrant une visibilité sur l’agora d’internet, aujourd’hui devenue incontournable ».
Dans la pratique ce n’est pas aussi simple. En effet, malgré la crise et les confinements, de nombreux commerces de proximité ne sont pas prêts à modifier leurs systèmes de vente pour continuer à travailler. Les solutions existantes leur apparaissent trop chères ou trop complexes pour leurs petites structures. Quant aux municipalités, elles ne sont pas forcément capables de les aider, le plus souvent faute de moyens et de compétences internes.
C'est pour les aider à relever le challenge de la digitalisation que Loic Viandier, le fondateur de l’agence Tramontana Web à Narbonne ( Occitanie ), lance « J'aime ma Zone », une solution efficace, rapide et simple qui permet aux communes françaises de venir en aide à leurs commerces de proximité, en leur proposant de numériser la prise de commande et la visibilité en ligne. En quelques clics, tous les commerçants et artisans de la commune peuvent commencer à proposer de la vente en ligne de leurs produits sur une véritable place de marché communale.
« Nous avons créé le système le plus adapté et le plus abouti pour les communes d'aujourd'hui, puisqu'il est à mi-chemin entre la place de marché et le site e-commerce »
« C’est une solution 100% fonctionnelle, sans prise de tête pour digitaliser vite et bien toutes les villes, bourgs, et villages de France et les redynamiser », affirme Loic Viandier, le fondateur. « Nous voulons prouver qu'il est possible d'apporter une réponse efficace aux restrictions liées au Covid 19 afin que les petits commerces puissent recommencer à travailler sereinement ».
L’objectif de cette solution est d’aider les commerces des villes moyennes et villages à se développer et à prendre le virage du numérique afin de palier la crise économique et sanitaire.
Alors comment ça marche ? J'aime ma Zone est, selon son concepteur, un outil « tout-en-un », très complet qui offre aux communes, une plateforme centrale customisée à l'image de la ville, permettant aux habitants, touristes, personnes de passage, d’y retrouver tous les commerces alimentaires ou non, de s’informer et passer commande sans se déplacer.
Chaque commerce de la ville bénéficie de sa propre boutique en ligne avec nom de domaine dédié, personnalisation intégrale, administration et mise à jour accessible. De plus, la plateforme est optimisée pour le « click & collect » ou la livraison à domicile à destination de chacun de leur commerce.
« Nous avons créé le système le plus adapté et le plus abouti pour les communes d'aujourd'hui, puisqu'il est à mi-chemin entre la place de marché et le site e-commerce. Il est opérationnel en 72 h », précise Loic Viandier, lequel n’en est pas à sa première expérience dans le domaine, puisque l’équipe qu’il dirige a déjà lancé deux autres plateformes de digitalisation pour les commerces de proximité : Restaurantdrive.fr et petitdrive.fr
Et comme un exemple vaut plus qu’un long discours, le concepteur vous invite à visiter le site des commerces de la ville de Narbonne : https://jaimemazone.wpmudev.host/