YESPARK, premier opérateur du stationnement de proximité en Ile-de-France  10/11/2017

YESPARK, premier opérateur du stationnement de proximité en Ile-de-France
Application de location longue durée de places de stationnement, la startup YESPARK a annoncé ce mercredi, disposer du plus grand maillage régional de parkings d’Ile-de-France. Elle détrône même certains acteurs historiques du stationnement.

Si le nombre de places proposées (plus de 6 000) reste en-dessous des mastodontes du secteur, Yespark ouvre les portes de 333 parkings en Ile-de-France, soit plus que Saemes et Indigo réunis. Les Franciliens ont ainsi davantage de chance de trouver un parking plus proche de leur lieu de résidence ou de travail qu’avec n’importe quel autre acteur du secteur. 

« Proposer à tous une place de parking sécurisée, moins chère, proche de son lieu de résidence ou de travail tout en permettant aux propriétaires de rentabiliser leurs places vacantes, c’est la force du modèle que nous avons inventé et qui fait notre forte croissance. Ce n’est en outre que le début compte tenu du potentiel du marché. En Ile-de-France, il existe à ce jour près de 120 000 places encore vacantes et nous entendons bien en gérer la majorité à moyen terme ! » déclare Thibaut Chary, Cofondateur de Yespark. 
 
Pour atteindre un tel volume après seulement 3 ans d’existence, Yespark a créé un modèle unique dans le secteur en établissant un partenariat original avec 43 bailleurs sociaux franciliens dont la RIVP, Paris Habitat, Logement Français, ICF Habitat ou encore Groupe SNI, qui lui permet d’accéder aux places vacantes via un smartphone. 
 
Ces places sont disponibles à la location pour 16 à 190€/mois suivant la localisation ; un tarif en moyenne 30% moins cher que pour une place louée traditionnellement dans la même zone.  Yespark propose un abonnement mensuel, sans engagement, sans caution ni préavis. L'automobiliste peut s'abonner en quelques minutes et accède au parking grâce à son smartphone lequel devient une télécommande numérique.

 
La Rédaction

Pourquoi les grands groupes doivent recruter un « Chief Freelance Officer »  09/11/2017

Pourquoi les grands groupes doivent recruter un « Chief Freelance Officer »
Selon le dernier bilan dressé par l'IFOP, le nombre de travailleurs indépendants est estimé à 2,3 millions en France et 14,3 millions d'actifs, soit un sur deux, se disent prêts à le devenir. Photographes, rédacteurs, designers ou encore développeurs, beaucoup ont choisi de travailler dans leur domaine de prédilection en tant qu'indépendants. Les freelances se heurtent néanmoins à de nombreux obstacles au quotidien, qui privent les entreprises de ces  nouveaux talents de l'économie numérique.
 
Pour Comet, une plateforme qui connecte instantanément les meilleurs freelances tech et data aux entreprises les plus ambitieuses recruter un Chief Freelance Officer est une première étape décisive pour les grands groupes.
 
Un freelance est bien plus qu'un simple prestataire de service. La DRH d'une entreprise ne les considère pas toujours comme des collaborateurs internes et la branche Achats les place au même niveau d’un fournisseur. Pourtant, l'approche à adopter avec des freelances est différente. Il faudra par exemple préférer rémunérer les freelances en fin de mois, à l'instar des salariés de l'entreprise, plutôt que d'opter pour un paiement à 60 jours qui est traditionnellement le cas. Un interlocuteur à l'écoute et une communication transparente sont ainsi nécessaires pour comprendre leurs enjeux quotidiens.
 
D’où l’idée de recruter un Chief Freelance Officer mettre en place une véritable stratégie d'acquisition et de rétention des talents en externe. À la fois responsable des contrats et garant de la bonne conduite des projets, c'est à lui qu'il revient de créer une véritable “marque employeur” adaptée à ce nouveau type de collaboration.  Son rôle sera également de faire évoluer la perception des freelances en interne. Enfin, s’appuyant sur l’indépendance des prestataires freelance, il pourra accompagner la transformation digitale de l’entreprise en faisant même émerger de nouvelles méthodes, comme le télétravail.
 
Les bénéfices que les freelances apportent restent néanmoins méconnus au sein d'une entreprise, d'où l'importance de disposer d'un spécialiste dans l'entreprise. Polyvalent et transversal, le rôle du Chief Freelance Officer a une forte dimension stratégique. À la fois très opérationnel et porteur d'une vision propre, c'est un véritable vecteur d'agilité. Dans un contexte de transformation, il s'avère être un allié de poids sur qui compter.

 
La Rédaction

Angers, capitale des objets connectés, sur France Télévisions  26/10/2017

Angers, capitale des objets connectés, sur France Télévisions
A l’occasion du World Electronics Forum, la rencontre des leaders mondiaux de l’électronique, qui  se déroule en ce moment à Angers, et de la Connected Week, la semaine de l’Internet des Objets, l’entreprise Qowisio et la Cité de l’Objet Connecté ont eu  l’honneur du journal de 13 heures,  ce mercredi 25 octobre sur France 2.

« Ils s’invitent partout dans notre vie quotidienne et cela va aller crescendo », a affirmé Marie-Sophie Lacarrau, en présentant la rubrique « Notre vie quotidienne » dans le journal de 13h. Elle parlait bien sûr des objets connectés. « En 2020 nous aurons chacun à notre disposition dix objets connectés. Dans ce domaine, une ville se distingue : Angers ».

Sur place, tant au sein de l’entreprise Qowisio, laquelle présentait son dispositif de capteurs et son réseau bas-débit permettant d’assurer le suivi de la maintenance des bâtiments du bailleur social Podeliha, qu’a la Cité de l’Objet Connecté, personne n’a manqué de relayer, sur les réseaux sociaux, ce reportage publié à une heure de grande écoute sur France Télévisions. 

 
La Rédaction

Google va construire un quartier entier à Toronto et en faire une Smart City  23/10/2017

Google va construire un quartier entier à Toronto et en faire une Smart City
Sidewalk Labs, filiale de Alphabet, la maison-mère de Google, va transformer le quartier Quayside de Toronto  en ville dynamique qui évolue selon les données récoltées sur ses habitants. La capitale de l’Ontario va devenir ainsi la première Smart City du Canada.

L'annonce de Sidewalk Toronto a été faite à Corus Quay sur le secteur riverain de l'Est par Will Fleissig et Dan Doctoroff , respectivement PDG de Waterfront Toronto et de Sidewalk Labs.  Le premier ministre Justin Trudeau,  la première ministre de l' Ontario , Kathleen Wynne, Le maire de Toronto , John Tory  et Eric Schmidt , président exécutif d'Alphabet, Inc. étaient présents lors de l’annonce du projet.

Après avoir exploré des opportunités dans le monde entier, Sidewalk Labs, une société Alphabet, a répondu à une demande de propositions (RFP) émise en mars 2017 par Waterfront Toronto qui cherchait un partenaire d'innovation et de financement pour Eastern Waterfront, en commençant par créer un nouveau quartier appelé Quayside.
 
Google y déménagera son siège social canadien ainsi que ses quelques 300 employés qui vivront dans des logements écologiques et abordables. Le quartier Quayside situé sur les bords du lac Ontario ambitionne de devenir ainsi un point d’attraction pour les nouvelles technologies.
 
Le nouveau quartier est d’une superficie de près de 50 000 mètres carrés. Il inclurait des centres de recherche et développement, mais aussi des commerces, des logements abordables et un réseau de transport formé de véhicules sans chauffeur.
 
Quayside deviendra un lieu de vie, de travail, d'apprentissage et de divertissement pour des dizaines de milliers de personnes. Il permettra de créer et de promouvoir de nouvelles idées pour améliorer la vie en ville, des systèmes énergétiques positifs au climat pouvant offrir une nouvelle norme de durabilité. Ce quartier très innovant reflétera également la diversité culturelle et l'ouverture de Toronto et aidera à relier tous les Torontois aux plages, aux parcs et aux communautés riverains.
 
Dans une première phase, Sidewalk Labs prévoit d’investir 50 millions de dollars. L’ensemble du projet pourrait coûter jusqu’à 1 milliard de dollars. Parallèlement, Toronto et la province d’Ontario devraient également financer ce projet à hauteur de 1,25 milliard de dollars.
 
Toronto n’était pas la seule métropole en lice. Mais, l’ancrage profond de la ville canadienne dans les nouvelles technologies a indéniablement joué en la faveur de la plus grande ville canadienne aussi capitale de la province de l’Ontario.

 
La Rédaction

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